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 Cory Falcon | Shut up and Run.

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Cory Falcon

Cory Falcon


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MessageSujet: Cory Falcon | Shut up and Run.   Cory Falcon | Shut up and Run. EmptyVen 31 Juil - 23:21

Cory FALCON

©️ TUMBLR


I - IDENTITÉ


NOM, PRÉNOM(S) : FALCON, Cory.
SURNOM(S) : Nightfury.
AGE : 22 ans.
ORIGINE : TERRE – Système Solaire.
STATUT : Humanoïde de type Meta-Humain.
DATE & LIEU DE NAISSANCE : 29 Octobre 1990 – TERRE.
ÉTAT CIVIL : Célibataire.



II - EXAMEN


DESCRIPTION PHYSIQUE : Je fais 1m60 pour 56 kilos, pas vraiment un physique à faire peur dans les bas-fonds. Quelques rondeurs (la gourmandise ça a toujours des conséquences), un peu de muscle (à force de cavaler comme un lapin toute la journée) et des réflexes qui se sont améliorés avec le temps. Pas endurante pour deux sous par contre… Tout le monde ses faiblesses. J’ai des cheveux châtain foncé assez longs et des yeux bleu/verts proprement stupéfiants (c’est pas moi qui l’ai dit !). On oublie le reste, mais on se rappelle souvent de mes yeux. Un nez fin légèrement en trompette et une peau plus blanche que du lait. Ce qui est très problématique parce que j’ai tendance à souvent rougir pour un oui ou pour un non. Je déteste ça… Niveau look, je suis entre deux modes : décontractée ou chic. Certains jours je peux être en admiration totale devant un tailleur pantalon noir finement rayé et le lendemain porter une chemise trop grande et un jean élimé. Selon l’humeur du jour la différence peut être perturbante. Mais, en ce moment, depuis que je suis arrivée ici en fait, je reste dans le décontracté. Question de survie. Enfin, tout dépend ce qu’on entend par là parce que je me suis trouvée un petit pantalon en cuir l’autre jour…

DESCRIPTION CARACTÉRIELLE : La contradiction vous connaissez ? Ben moi c’est ça. J’aime être à contre-pied, même si ça m’attire plus d’ennuis qu’autre chose parfois. Je me fais difficilement des amis parce que j’ai du mal avec les relations sociales en général, trop timide, et bizarre. Mais comme j’ai toujours aimée l’indépendance, ce n’est pas un si gros désavantage que ça. Oh, je ne mentirais pas en disant que je m’en fiche, c’est… oppressant de se retrouver seule pendant trop longtemps. Mais une chose est sûre, quand j’arrive à trouver quelqu’un d’assez bonne pâte pour me supporter, je ne le laisse jamais tomber. J’ai des principes voyez-vous. Je pourrais le défendre bec et ongles sans même y réfléchir à deux fois quitte à y risquer ma vie. Je suis peut-être un tantinet inconsciente, voire suicidaire parfois. Et je réagis souvent au quart de tour, il en faut peu pour m’énerver ou m’agacer. Ironique, parfois mordante, j’ai pas mal de répondant, du moins je le pense. Je suis bizarre aussi. Je ne l’ai pas dit encore ? Je m’arrête sur des choses sans importances et oublie celles qui devraient l’être. Change de sujet comme on cligne des yeux et reste persuadée que tout ça est la meilleure chose qui pouvait m’arriver...

SON RÔLE DANS LA SOCIÉTÉ : Fugitive. Et croyez-moi, j’ai pas une vie facile. Ne faire confiance à personne, se méfier de tout et surtout… ne jamais se faire capturer. Et par l’enfer, je vous assure que j’adore ça ! Courir plus vite que celui qui me poursuit, faire des trucs interdits et découvrir plus de choses que mon cerveau ne pourrait en concevoir. C’est ça la vie !

ATTITUDE ENVERS LA LOI : Chaotique Neutre. J’adoooooore emmerder mon monde. Surtout si on veut m’obliger à faire quelque chose. Je suis une fervente défenseuse du libre arbitre, je ne crois pas au Destin : C’est surfait. J’ai mes principes, et je ne me base que sur eux, le reste m’importe peu. En résumé, je préfère faire le mauvais choix librement qu’être obligée de faire le bon.



III - DOSSIER


Cory Falcon | Shut up and Run. Tumblr_lgmrmju0d41qh8t5go1_500


Piece of Mind :

Under Construction...



IV - CASIER JUDICIAIRE


FICHE FÉDÉRALE : Même en n'ayant jamais commis de crimes, toute personne possédant un pass multi-accès est fichée, que ce soit par son implication dans la société, par ses relations, ou par ses faits notoires, qu'ils soient divers ou futiles.


V - ET VOUS ?


PSEUDO : Persephy.
AGE : 20 ans.
QUE PENSEZ VOUS DU DESIGN/FORUM : huhuhu
Si si, c’est une réponse…
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM : Je suis en connexion directe avec l’Univers.
CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : KayafuckingScodelario ♥️


Dernière édition par Kaylee Carter le Lun 17 Aoû - 14:38, édité 1 fois
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Cory Falcon

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MessageSujet: Re: Cory Falcon | Shut up and Run.   Cory Falcon | Shut up and Run. EmptyDim 21 Aoû - 23:14

III - DOSSIER


T'es pas une chochotte ? Viens donc zieuter la version longue si tu l'oses ! nondidiou

Cory Falcon | Shut up and Run. Fable1


FABLE 1 :

" Sometimes you wake up from a dream. Sometimes you wake up in a dream.
And sometimes, every once in a while, you wake up in someone else's dream. "
Richelle Mead

La nuit des étoiles. C’était comme ça que mon père et ses amis appelaient le soir de Juillet où ils se réunissaient, traînant femmes et enfants à la tombée de la nuit au sommet d’une petite colline perdue en campagne. Et par perdue, je veux dire complètement paumée. Vide du moindre signe de civilisation à des kilomètres à la ronde et une vue imprenable sur ces fameux kilomètres. Le but premier étant d’éviter les interférences qu’aurait pu produire les lumières de la ville sur leurs télescopes. De vrais gosses, comparant qui avait le plus gros objectif, ce genre de trucs. Les épouses couraient après les enfants qui se faisaient un plaisir de décamper le plus loin possible, et hurlaient des menaces plus grotesques les unes que les autres tandis que, planqués dans les buissons les gosses les ignoraient superbement.

C’était ma dernière nuit ici, mais je l’ignorais encore. Assise sur un tabouret en plastique, mastiquant un bout de pizza froide (excellente cela dit !), je regardais tel un poisson rouge sous morphine un gamin de 9 ou 10 ans escalader un petit pin en faisant douloureusement craquer les branches. Sa mère l’aperçu et se contenta d’un « fais attention mon chéri » avant de retourner à sa conversation pa-ssio-nan-te sur la préparation du rôti de veau à la crème. La branche craqua, le gosse tomba, puis le gosse hurla. Sa mère l’ignora un moment, ou alors elle ne l’avait vraiment pas entendu, allez savoir. Couvrant les cris je me tournais vers ma mère assise sur un banc face à moi pour lui demander :

× - Il en a encore pour longtemps ?

Elle se tourna vers le promontoire situé à une trentaine de mètres pour jeter un coup d’œil au groupe des « Observateurs », dont faisait partie mon père. Elle eu un léger haussement d’épaules blasé. Pas trop appuyé pour éviter de réveiller ma sœur endormie sur ses genoux. Bizarrement, elle n’avait pas été une atroce petite peste, au contraire une vraie perle, elle était restée avec nous alors que tous les autres petits morveux attrapaient des sauterelles et grimpaient aux arbres. Vous l’aurez compris, je déteste les enfants. Ma sœur a huit ans et c’est la seule que je supporte. C’est intolérant, moche et tout ça, je sais, mais je suis comme ça. Je n’ai aucune patience. Et les gamins, ça demande énormément de patience. J’ai attrapé un autre bout de pizza et croqué machinalement dedans. Tiens courgette. Sympa, j’y aurai jamais pensé : de la courgette sur une pizza.

Je ne saurais même pas dire combien de temps ça a duré, j’attendais juste que ça passe. C’était quand même marrant : je me fichais un peu complètement de leurs trucs d’observation et pourtant j’étais une fan de science-fiction. Drôle de contradiction. Peut-être que je ne voulais juste pas qu’on me casse mon mythe à coup d’images troubles d’un télescope en toc monté dans un garage... Finalement, tout le monde s’est dispersé, les gens sont rentrés chez eux et nous en avons fait de même. Le fait est que, mis à part la soirée « familiale » au milieu de la nuit, rien ne distinguait cette journée des autres. Rien de bizarre ou d’inattendu. Une journée aussi banale que d’habitude, inintéressante au possible. Et si je vous dis ça c’est pour que vous compreniez l’étendu de mon ahurissement à mon réveil au petit matin.

La première chose que j’ai notée en commençant à sortir de ma torpeur après une relative bonne nuit de sommeil, c’était le bruit. J’ai une excellente ouïe et le moindre petit bruit me réveille en général. Je n’ai pas compris tout de suite que quelque chose clochait. C’était un son de bruissement, de craquement et de pépiement d’oiseaux. Habitant à la campagne, dormant fenêtre ouverte en été, c’était un son à peu près normal. La seconde chose qui m’a marquée (et qui me mit vaguement la puce à l’oreille) c’était que… j’avais mal partout. J’étais gênée par les petites douleurs qui s’étendaient de mes orteils au sommet de mon crâne, comme des piqûres d’épingle. Je fronçais les sourcils, commençant à me réveiller pour de bon. Quand je réalisais soudain ce qui n’allait pas. La lumière ! J’ouvris les yeux vivement et du les plisser presque immédiatement face à l’éclat agressif des rayons du soleil. Mais c’était largement suffisant pour voir au-dessus de moi. Mon ébahissement était tel que je n’arrivais plus à bouger. Ou plutôt, si je pouvais bouger, mais mon cerveau n’arrivais pas à trouver l’information adéquate pour l’envoyer à mes membres. Je fermais les yeux, forçant mes paupières l’une contre l’autre, espérant dissiper une hallucination de fin de rêve. Et je les rouvris lentement. Et non...

De manière générale, je cogite beaucoup, je pense à tout, à rien de précis, des choses sans importances ou des trucs à faire. C’était une habitude inconsciente, je ne me fixais jamais sur un sujet précis. D’ailleurs, ça me faisait souvent passer du coq à l’âne au milieu d’une discussion. Mais là… non seulement je ne le faisait pas, mais en plus j’avais la tête vide. Rien, pas une seule pensée à l’horizon, juste le choc. Je me décidais à m’asseoir en faisant le moins de mouvement possibles, comme si rien n’était réel. Des arbres, des branches. J’étais couchée sur un lit d’aiguilles de pin, c’était ça qui m’avait fait mal. L’air frais était bien matinal mais l’endroit n’avait rien du confort douillet de ma chambre. Je pouvais sentir l’odeur de la terre encore humide de la rosée nocturne et celle boisée des arbres alentours. Je tournais lentement la tête de l’autre côté, toujours la forêt, où que mon regard se porte.

La bouche légèrement entrouverte, j’étais toujours aussi immobile. Persuadée que j’allais me réveiller d’une seconde à l’autre en riant bêtement et me disant que c’était le plus réel de tous les rêves que j’ai jamais fais. Sauf que les secondes passaient, puis une minute, puis deux, et j’étais toujours là. Un insecte indéterminé (il avait suffisamment de pattes pour que je n’ai pas envie de les compter) choisit mon instant privilégié de dilemme intérieur pour se faufiler à une vitesse ahurissante près de moi en effleurant ma jambe. Je poussais un couinement aigu en faisant un bond qui me propulsa deux mètres plus loin sur une grosse racine. Donc… me voilà sur la pointe des pieds au milieu d’une forêt, agrippée à un tronc d’arbre comme à une bouée de sauvetage. Mes ongles enfoncés dans l’écorce et le regard rivé sur le sol.

Comme je raconte ça vous pensez peut-être que ce n’était pas si terrible, mais je peux vous assurer qu’à ce stade j’étais totalement terrifiée. Le blocage dans ma tête s’est évaporé et toutes les pensées les plus stupides et terribles que je pouvaient avoir m’ont envahit dans un maelstrom confus d’idée et de mots. Cette fois j’avais trop de choses en tête pour comprendre quelque chose, c’était vraiment pas mieux qu’avant. Mon cœur battait à cent à l’heure, mes muscles étaient tendus, prêts à l’effort du gibier qui s’apprête à fuir. J’étais perdue. Perdue, complètement perdue. Perdue, perdue, perdue, perdue… Le seul mot qui tournait en boucle. Je scrutait les méandres de ma mémoire pour me souvenir de tout ce que j’avais fais cette nuit pour en arriver là. Et rien de logique n’en sortait, je ne devais tout simplement pas me trouver là. Point. Ah, l’endroit était calme et magnifique c’est certain, mais je n’aurais pas du me trouver là. La panique pris de telles proportions que le réflexe évident qui me vint plus du corps que de l’esprit fut la fuite. Sans réfléchir, je me mis à courir dans une direction au hasard. Mes pieds nus s’écorchant sur le sol. Je déteste perdre le contrôle d’une situation, ça me fait peur, et quand, sinon maintenant, pouvais-je m’autoriser à entrer dans une folie que je réprimais habituellement très bien. J’essayais de fuir quoi en plus ? Une araignée, un cafard, les aiguilles de pin, le grand méchant loup ?

En résumé, j’étais paumé en plein milieu d’une putain de forêt verdoyante et je paniquais complètement !

En fait, confusément je pensais tomber sur une maison, un panneau, n’importe quoi qui aurait pu m’indiquer où je me trouvais. Parce que c’était la grande question du jour. Je m’attendais à pleins de trucs possibles, partant dans des délires tordus qui n’appartiennent qu’à moi. Oui à tout… Sauf à tomber nez à nez avec un grand blond aux cheveux bouclés. J’ai stoppée ma course instantanément, presque en dérapant. Je ne l’avais pas vu arriver, et lui non plus à voir sa tête. A peine à deux mètres l’un de l’autre, on ne trouvait rien de plus à faire qu’à se regarder en chien de faïence, aussi ébahi l’un que l’autre pendant quelques secondes. Il était plus vieux que moi, la trentaine facile. Athlétique et, dans son costume gris anthracite coupé sur mesure, complètement décontracté. Il tenait ce que je supposais être un PDA à la main.

■ - Salut ?

Il posait la question comme s’il n’était pas sûr que se soit ce qu’il aurait du dire. De mon côté, l’entendre parler le rendait réel, et donc un danger potentiel. J’avais les bras serrés autour de la poitrine, les cheveux pleins de feuilles dans un désordre digne d’une folle. Le souffle court et les joues rouges d’avoir courue, les pieds douloureux et… un peu froid. Disons que je n’étais pas particulièrement habillée pour une journée randonnée. J’avais pour seuls et uniques vêtements ma petite culotte et un immense pull noir troué et informe qui me servait de pyjama. Malgré tout j’hésitais à fuir dans la direction opposée de crainte qu’il soit un tueur psychopathe de la forêt. Deux choses me retinrent : il n’était pas habillé comme un tueur psychopathe de la forêt (ou comme je m’en imaginais un), plutôt comme un homme d’affaire. Et il me rappelait Nicholas… Nicholas c’était un gars pour qui j’avais le béguin en seconde. Je sais, c’est une raison complètement irrationnelle. Comme je ne disais toujours rien, prête à détaller au moindre signe d’une tentative d’approche agressive, il retenta sa chance.

■ – Comment est-ce que tu t’appelles ?

× - Vous d’abord.

Etant donnée que (même si j’en mourrais d’envie) je n’avais aucune intention de lui dire, je cherchais vaguement un surnom qui aurait pu convenir. Sauf que rien ne me venait. Pourtant j’étais douée pour en trouver, mais là rien. Ma voix que j’avais voulue agressive, se brisa légèrement et donna quelque chose d’un peu pathétique. Mais la lueur dans mes yeux était suffisamment hostile pour traduire ma pensée. La réponse le surpris, et ce qui me surpris moi c’est sa réaction. Il esquissa un sourire amusé. Je pourrais m’étendre sur le fait que son sourire le rendait aussi irrésistible et craquant que Nicholas mais comme ici ce n’est pas vraiment le sujet, on va sauter cette partie.

■ – Tout le monde m’appelle Léo. Et si je peux me permettre : est-ce que je peux t’aider ? Tu as l’air… égarée.

Bien vu Sherlock. Et je ne devais pas être resplendissante non plus. Je déteste ça, être mal dans ma peau, ça sape mon assurance et mon contrôle. Et puis d’abord, qu’est ce qu’il faisait là habillé comme ça lui ? On est où exactement ? Et pourquoi je me retrouve face à un gars à qui je n’arrive pas à dire non ?

× - Ça dépend... M’aider comment exactement ?

J’avais plissé le nez et froncé les sourcils. J’étais devenue plus suspicieuse maintenant, il me voulait quoi ? On n’aide pas les gens sans raisons de nos jours. On les voles, les violes et vends ses organes sur le marché noir. C’est ça l’esprit du XXIème siècle. Il éclata de rire, en pleurant presque.

■ – On se détend jolie fleur. Je peux t’emmener à la sortie et te trouver d’autres vêtements. En tout bien tout honneur.

Il avait levé les mains comme pour accentuer sa dernière phrase, indiquant qu’il n’avait pas l’intention de me toucher ou de s’en prendre à moi. Il pouvait mentir, mais à choisir un mal, autant profiter de ce qu’il m’offrait, à savoir trouver la sortie. C’était déjà un grand pas d’être tombé sur quelqu’un, et j’aurais pu tomber bieeeeeeeen pire. Et ce n’était pas uniquement parce qu’il m’avait appelée « jolie fleur »…

× - Ok.

Il parut se contenter de ma réponse laconique et se tourna dans la direction d’où il venait, rebroussant chemin. Marchant devant moi d’un pas moyen pour que je puisse le suivre. Je restais à distance de sécurité, on ne savait jamais. Il se tournait de temps en temps pour surveiller que j’étais toujours là, à chaque fois avec un petit sourire. Nous ne devions pas être si loin que ça parce que, seulement après quelques minutes la végétation s’espaça et je me retrouvais enfin dehors. En levant les yeux j’ai complètement oublié l’homme à côté de moi. Les yeux écarquillés, j’essayais de déterminer si je pouvais encore me réveiller. Je rêve, hein ? Je me croyais dans une forêt, erreur ! Je ne pouvais pas en être plus éloignée. Je me demandais même comment est ce que je n’avais pas remarqué le grondement sourd et continu, presque imperceptible mais de plus en plus fort en approchant. J’étais en plein centre ville, dans ce qui semblait être un parc. Et grâce à ce que je voyais je pouvais affirmer sans me tromper que je n’étais plus chez moi. Dans le sens, plus dans mon monde. J’entendis à peine Léo me dire d’attendre ici une minute le temps qu’il revienne. J’étais bien trop occupée à digérer l’information.


Cory Falcon | Shut up and Run. Fable2


FABLE 2 :

" I never think of the future. It comes soon enough. "Albert Einstein

En Construction... (avec la partie 3, 4, 5 et 6... hihi )
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